Qui sommes nous?

Collectif pour une Ethique en Travail social

Le Collectif pour une éthique en travail social est une association militante, non gestionnaire d’établissements.

Son but est de lutter pour la dignité et la reconnaissance des personnes en situation de vulnérabilité.

Notre slogan est de « lutter contre la maltraitance et promouvoir la bientraitance ».

Nos ACtions

Notre premier axe de travail consiste à dispenser des formations en intra pour les établissements d’accueil du secteur de l’action sociale désireux de changer leurs pratiques et de sortir de certaines formes de maltraitance, notamment celles qu’on peut traiter d’institutionnelles insidieuses.

Le second axe de notre travail consiste à soutenir les lanceurs d’alerte, témoin d’actes de maltraitance, dont ceux liés aux différentes formes d’abandon des usagers à eux-mêmes, dont ils ont pu s’apercevoir au sein de leur établissement.

Trop souvent, hélas, le problème est occulté : l’établissement concerné, qui ne vise alors qu’à la reproduction de lui-même, s’arrange pour faire taire le lanceur d’alerte.

Notre devise “Lutter contre la maltraitance, promouvoir la bientraitance”

L’association est militante, non gestionnaire d’établissement et composée de bénévoles.

L'equipe du collectif

Camille

Chef de service

Charlotte

Educatrice

Frédéric

Inspecteur général à la retraite et acteur associatif

Eric

Formateur en Ecole de Travail Social

Vous souhaitez nous apporter vos idées ?

À la maltraitance des usagers se rajoute dans ces circonstances la « malmenance » du lanceur d’alerte.

Dernièrement, nous avons décidé de publier un livre de témoignages et d’analyses tirés de ces interviews, où nous avons recueilli la parole de différents acteurs de l’action sociale montrant la dérive de nombre d’institutions vers un travail de moins en moins humain auprès des usagers.

Nous nous sommes intéressés à l’ensemble des âges et des différentes catégories d’usagers, mais les constats que nous avons pu dresser concernant la protection de l’enfance, et son extension à la situation des jeunes majeurs, nous inquiètent particulièrement…